AUTOCULT Bizzarrini 500 Macchinetta bleu Italie 1952
Description : 1/43 résine, en boite vitrine, série à 333 ex, 80€ au lieu de 106€!!; sorti en mars 2017, DERNIER MODELE DISPONIBLE LE 14 Juin 2024
Giotto Bizzarrini - né près de Livourne en 1924 - termine ses études d’ingénieur à l'université de Pise en 1953. Mais avant même de signer son premier contrat de travail et, en guise de sujet de fin d’études, il se consacre à rafraîchir une Fiat 500 Topolino qui, selon lui, vieillissait mal.
Sous les mains du jeune Bizzarrini, ce petit Topolino (petite souris), surnommé ainsi pour sa bouille proche de la voiture de Mickey Mouse, se transforma en un coupé aux courbes élégantes, qui n'avait pas d’égale parmi les voitures de série du début des années 50. En dehors de toutes les règles, il conçoit une voiture, caractérisée par un arrière toute en rondeur avec un bouchon d’essence placé au centre. Deux petites fenêtres latérales arrondies à l'arrière et l'élargissement des ailes arrière donnent à la voiture, et c’est peu dire, un aspect beaucoup plus sportif que l’original.
Une grande entrée d'air ovale - couverte par une grille chromée généreuse, inhabituelle selon les normes de l’époque – permet le rafraîchissement du moteur. Étrange, sinon révolutionnaire, est la disparition totale de pare-chocs. Sans ces protections, la Bizzarrini 500 aurait pu donner l’impression d’un travail bâclé ou être juste un prototype charmant. Et pourtant non. Plus qu’un prototype, elle est réellement une voiture unique ! Car non seulement le corps de la Fiat a été changé, mais le moteur a subi des modifications, notamment sur la performance. Selon les informations connues, c’est un moteur de 30 cv qui poussait le Bizzarrini 500 à une vitesse maximale de 145 km/h. Pour améliorer la maniabilité de la voiture, Giotto Bizzarrini eut l’idée de placer le moteur légèrement plus centré que l’original.
Après la transformation radicale du Topolino, l'industrie automobile reconnait rapidement la valeur du jeune ingénieur. Dès 1954, il signe son premier contrat
Giotto Bizzarrini - né près de Livourne en 1924 - termine ses études d’ingénieur à l'université de Pise en 1953. Mais avant même de signer son premier contrat de travail et, en guise de sujet de fin d’études, il se consacre à rafraîchir une Fiat 500 Topolino qui, selon lui, vieillissait mal.
Sous les mains du jeune Bizzarrini, ce petit Topolino (petite souris), surnommé ainsi pour sa bouille proche de la voiture de Mickey Mouse, se transforma en un coupé aux courbes élégantes, qui n'avait pas d’égale parmi les voitures de série du début des années 50. En dehors de toutes les règles, il conçoit une voiture, caractérisée par un arrière toute en rondeur avec un bouchon d’essence placé au centre. Deux petites fenêtres latérales arrondies à l'arrière et l'élargissement des ailes arrière donnent à la voiture, et c’est peu dire, un aspect beaucoup plus sportif que l’original.
Une grande entrée d'air ovale - couverte par une grille chromée généreuse, inhabituelle selon les normes de l’époque – permet le rafraîchissement du moteur. Étrange, sinon révolutionnaire, est la disparition totale de pare-chocs. Sans ces protections, la Bizzarrini 500 aurait pu donner l’impression d’un travail bâclé ou être juste un prototype charmant. Et pourtant non. Plus qu’un prototype, elle est réellement une voiture unique ! Car non seulement le corps de la Fiat a été changé, mais le moteur a subi des modifications, notamment sur la performance. Selon les informations connues, c’est un moteur de 30 cv qui poussait le Bizzarrini 500 à une vitesse maximale de 145 km/h. Pour améliorer la maniabilité de la voiture, Giotto Bizzarrini eut l’idée de placer le moteur légèrement plus centré que l’original.
Après la transformation radicale du Topolino, l'industrie automobile reconnait rapidement la valeur du jeune ingénieur. Dès 1954, il signe son premier contrat
Prix:
Réference : ATC05012
80,00 €